Ecrivain, coach en developpement personnel, coach d’auteurs et sophrologue à Paris
Formée au Clean.
Participante à l’Université d’été 1 en tant que cliente

Entretien par Céline de Vitry

L’université d’été, pour toi, c’est comme quoi ?
C’est comme une parenthèse enchantée.

Quel genre de enchantée ?
Une harmonie. Tout était juste.

Où se trouve ce enchanté ?
C’est dans le cœur. Je me suis sentie en sécurité.

Il y a-t-il autre chose à propos de Enchanté ?
Je me suis rendue compte que j’aimais la musique du clean et que c’était un bon outil dans ma pratique professionnelle autant pour moi que mon client.

Quel genre de bon outil ?
Le clean pour moi est un booster énorme dans mes séances en tant que thérapeute. Dans l’anamnèse, il permet au client d’aller en profondeur dans sa problématique  mais tout en douceur grâce à l’accompagnement en Clean Language. Il exprime alors son besoin avec justesse. Il dit souvent : «Ça y est je sais, j’ai besoin de…». Il est en son centre grâce aux questions clean.

Et il y a-t-il une relation entre  parenthèse enchantée et bon outil  ?
Oui car à l’université, tous les besoins sont satisfaits. Malgré le planning, le temps n’existe pas. Chaque partie cadrée se fait pourtant dans un temps élastique où j’ai pu ralentir. Et ça fait du bien de ralentir pour apprendre quelque chose de nouveau.

Il y a-t-il autre chose ?
En ralentissant, j’ai pu me rendre compte  de là où j’en étais en termes personnels. J’ai vu où étaient positionnés mes curseurs émotionnels. Mon rapport à l’autre par exemple. Ce qui était intéressant c’est que à l’université il n’y avait pas de jeux de miroir conflictuels pour moi. J’ai pu observer ces miroirs et observer la manière dont je réagissais ou encore si cela m’appartenait ou non.

Que sais-tu maintenant ?
Que je peux trouver des solutions grâce à l’aide des autres. J’ai toujours eu jusque-là tendance à trouver les solutions par moi-même. Après l’université d’été, je me suis rendue compte que, grâce aux autres je pouvais trouver des solutions que je n’avais pas envisagées.

Il y a-t-il autre chose ?
Je crois que j’ai compris que je pouvais faire confiance aux autres… En tout cas dans un environnement tel que celui-là où régnait la bienveillance et le partage. J’ai donc en fait besoin de partage et de bienveillance pour être en confiance…

Que voudrais-tu qu’il se passe ensuite ?
Revenir à l’université l’année prochaine pour d’autres nouvelles surprises et voir où en sont mes fameux curseurs…

Un dernier mot ?
Je voulais remercier tous ceux qui étaient là-bas avec moi pour cette belle aventure humaine. Et en particulier Jennifer DeGandt qui est une grande dame que j’ai vu aussi comme une sorte de magicienne du clean et du cœur.